Le Rosaire Vivant

Son origine

L’idée est née au 19ème siècle à l’initiative de la bienheureuse Pauline JARICOT. En quelques années, elle a ainsi rassemblé plus d’un million de personnes qui priaient le Rosaire de cette façon. Elle disait ceci : « Quinze charbons, un seul est bien allumé, trois ou quatre le sont à demi, et les autres non. Rapprochons-les, c’est un brasier ! » Le Rosaire Vivant est une œuvre d’Église, reconnue déjà en 1877 par le Pape Pie IX.

 

Son but

La sanctification personnelle et la charité fraternelle. « Je souhaite que tous les croyants, avec la Vierge, marchent résolument sur la voie de la sainteté, en tenant le regard fixé sur Jésus et en méditant, avec le Chapelet, les mystères du Salut. » (Jean-Paul II, Audience générale du 29 octobre 2003)

 

Par la méditation des mystères du Rosaire :

• Nous contemplons l’œuvre de Dieu, l’amour dont Il nous a aimés par le salut en Jésus, et nous désirons y répondre par la conversion de notre cœur.

• Nous prions pour la nouvelle évangélisation demandée par nos derniers Papes, comme réponse à la déchristianisation actuelle.

• Nous prions aux intentions qui nous sont confiées et à celles que nous portons dans nos cœurs.

• Une dizaine de chapelet par jour, c’est un engagement possible pour des personnes qui ne pourraient peut-être pas assumer un engagement plus important : le Rosaire Vivant met donc en « action prière et fraternité » ces personnes, et rejoint ce que disait Pauline Jaricot : « vingt charbons, un seul est bien allumé, les autres non, rapprochons-les, c’est un brasier ! » (texte adapté à notre temps !)

• Au cours de l’année, nous nous rencontrons pour vivre ensemble l’Eucharistie, suivie d’un temps de partage et de fraternité. C’est lors de ces rencontres que sont remis les mystères à prier durant l’année.